Cette intense activité sur les ondes ne l’empêcha pas de monter très vite sur les planches, puisque parallèlement elle a toujours régulièrement joué au Théâtre, notamment dans Parade et L’Enlèvement du jeune Charly avec la Cie Jean-Louis Kamoun, Le Syndrome de Madame Chiasson mis en scène par Alain Sachs, Un beau Salaud et Si c’était à refaire sous la direction de Jean-Luc Moreau… Et plus récemment Piège Mortel, dirigé par Eric Métayer…

Mais depuis toujours, sa préférence va à l’écriture et à la mise en scène, souvent de manière conjointe. C’est ainsi que, si elle a dirigé Ariane Dubillard dans son spectacle-hommage à son père, Ma Chanson de Roland, et 31 de Gaëtan Borg et Stéphane Laporte, elle fut « le maître d’œuvre de A à Z » de Une Diva à Sarcelles, Brigitte Directeur d’Agence, Les Maurice Girls et Chagrin pour soi (co-écrit avec Sophie Forte).
Fortement touchée par l’œuvre d’Irène Nemirovsky, elle en a adapté et mis en scène Le Bal, joué de nombreuses années à Paris et dans toute la France, puis Suite française, créée avec un immense succès au Festival d’Avignon l’été dernier, et qui y sera représentée en juillet prochain, avant sa reprise parisienne au Théâtre La Bruyère en septembre 2019, tandis que parallèlement, elle s’attelle à l’adaptation d’un autre roman de l’auteur russe, Tempête en juin.

En compagnie de Laury André, c’est (encore :-) Virginie qui a écrit et mis en scène la pièce créée par le Boulevard romand en janvier 2020, Spiridon Superstar, dans laquelle elle jouait également.